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Camerata du Léman

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concert pour les enfants à 17h30

19 octobre 2023

Neuchâtel, Temple du Bas

Camerata du Léman

18h45 (!)

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programme Piotr Ilitch Tchaïkovski (1840 – 1893) Sérénade pour cordes op. 48 en do majeur I. Pezzo en forma di sonatina – Andante non troppo – Allegro moderato II.Valse – Moderato -Tempo di valse III.Elegie – Larghetto elegiaco IV.Finale – Tema russo Andante – Allegro con spirito – Molto meno mosso - Tempo I –Più mosso Ludwig van Beethoven (1770 – 1827) Symphonie n° 10 en mi bémol majeur – 1er mouvement (complété par Barry Cooper)
La Camerata du Léman, née en 2012 sous l'impulsion de Carine Balit, réunit des musiciens aussi brillants que passionnés. Dès ses débuts, elle a reçu l’enthousiasme du public et des critiques, touchés par l’entente profonde entre des solistes qui jouent sans chef. Cette grande particularité qui lui permet une interaction artistique inédite en fait un ensemble unique et audacieux, très apprécié et recherché. La Camerata propose un répertoire non seulement incontournable de la musique baroque au XXIe s. mais aussi inventif et original. Pour ses 5ans, l’ensemble a enregistré son 1er CD et a immortalisé deux œuvres lui tenant à cœur : le « Souvenir de Florence » de Tchaïkovski et les « Tableaux d’une exposition » de Moussorgski, transcription unique réalisée par le violon solo Simon Bouveret. L’enregistrement est paru chez PENTATONE en sortie mondiale au printemps 2020. La Camerata du Léman est lauréate du prix spécial en musique de chambre de la 3rd Berliner International Music Competition. Dans une lettre adressée à son bienfaiteur Nadejda von Meck, Tchaïkovski écrivait : « Je composais cette sérénade animée par l'élan d'une profonde conviction ... c'est une chanson qui vient de mon cœur et je me plais à penser que pour cette raison elle n'est pas sans réelle qualité ». A l’origine destinée pour un quintette à cordes, la composition de Tchaïkovski datée de 1880 est en réalité une composition dominée par une grâce et un sentiment de sérénité pour un grand ensemble à cordes. Elle est aujourd’hui reconnue comme une des œuvres magistrales du compositeur, de celles parmi les plus accomplies et appréciées du public aux côtés des sérénades de Dvořák et de Suk. En mars 1827, peu de temps avant sa mort, Beethoven évoque dans un courrier à son ami Ignaz Moscheles l’avancement de son premier mouvement d’une dixième symphonie commandée par la Société Philharmonique de Londres. Le manuscrit laissé par Beethoven ne laisse ainsi planer aucun doute : tous les fragments retrouvés de cette œuvre sont bien composés de sa main. Mais il n’aura cependant pas le temps de terminer son œuvre. Dès 1983, Barry Cooper entame, à la découverte de toutes les esquisses fragmentaires, un travail de reconstitution et complète ce sublime premier mouvement. En 1988 lors de la première représentation à Londres, Sir Yehudi Menuhin présent dans la salle qualifiera le travail de Barry Cooper de remarquable et extrêmement fin.
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